Gardes Célestes de Brasamical
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Gardes Célestes de Brasamical


 
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 Chronique du Tigre

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Regit
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Regit


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MessageSujet: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyMer 8 Nov - 4:24

Regit ...
Un nom que mon père a choisi pour moi !
Je ne l'ai jamais aimé (ce nom, ni mon père d'ailleurs !).


((Musique de fond))

C'était par une nuit d'hiver, il neigeait et il faisait très froid, ma fenêtre ouverte je regardais la lune et les étoiles à moitié cachées par des nuages. J'aperçu au loin des lumières dansant à la pleine lune, le parc prit alors feu, très rapidement puis j'entendis des pleurs, des cris, des hurlements et plein d'autres bruits, ce fut au tour de l’hôpital, un immense bâtiment que l’on pouvait voir de la fenêtre du palais.
Mon frère entra dans ma chambre me donna un sac et me supplia de partir loin, ce que je fit en pleurant. J'abandonnais derrière moi ma vie, mon frère, mes parents et mes amis peu nombreux.
Je me faufilai dans l'ombre pour m'enfuir tel un prisonnier s'évadant, je parti sans regarder derrière moi et j'arriva après 50 minutes de course dans un bois, celui dans lequel j'avais l'habitude de me promener avec mon grand frère. C’était une course intensive !


Je n’avais pas beaucoup mangé ce matin, de plus j’était fatigué car j’avais fais une nuit blanche, j’avais donc très peu de forces. Des crampes aux abdominaux m’empêchaient de bouger, de plus j’avais les jambes en coton, la gorge en feu et les bras m’en tombaient. J’avais du mal à respirer, une envie de vomir et mes paupières se fermaient, le simple fait de froncer les sourcils était une épreuve insurmontable. Mon père me l’avait dit un jour, juste avant la mort, l’état le plus insupportable est l’épuisement, et dire qu’à ce moment là j’avais rit de lui intérieurement. Je ne le souhaite à personne car c’est très éprouvant, j’avais 14 ans !
Ce bois, je ne le connaissais même pas beaucoup car on ne faisait qu'une bref promenade pas très loin de la lisière de la forêt pour ne pas se perdre, mais je couru vers le centre de cette masse incalculable d'arbre pour me cacher, mon frère m'avait dit :

- il faut que tu vives !
Mon frère se souciait plus de moi que de lui même, et il m'avait sauvé la vie encore une fois, le passé refaisait surface, tout les bons et les mauvais souvenirs.

C'est alors qu’au bout de 20 minutes, pendant lesquels je me suis reposé, j'entendis des bruis de pas, des branches qui craque et je me retrouva face à trois brigands, l'un un peu plus imposant que les autres me dit :
- Tu dois mourir pour le bien du seigneur Altaica Tigris !
Il pointa son épée dur moi et les deux autres me sautèrent dessus, je réussis à en éviter un et le deuxième me blessa à l'épaule droite avec sa hache de bataille double lame, j'avais presque perdu mon bras. Et inconsciemment je fis un mur de flamme d'une grandeur incroyable,
après deux petites secondes je transformai les flammes en glace, on pouvait lire la peur sur le visage du brigand coincé dans les glaces. Le chef arriva alors et me donna un incroyable coup de point à l'endroit de ma plaie et je tombai par terre en hurlant de douleur, il s'approcha encore de moi et allait m'achever avec un coup d'épée.
A ce moment là je voulais repensé à tout ce que j'avais vécu mais seulement mes deux dernières années me revinrent, je n'arrivais pas à me souvenir de tout les autres événements de ma vie, je crus mourir.

Soudain les deux bandits restant furent projetés en avant, on pouvait voir des flèches de glace plantées dans leur dos.
Mon frère debout en face de moi, la main en avant me dit une phrase :

- tu ne changeras jamais ...
Mon frère avait raison, j'aurais toujours besoin d'aide, je suis un minable qui ne sait pas se protéger tout seul et je suis une gêne pour quiconque.
Après m'avoir arrangé un peu ma blessure il m'a annoncé la direction à prendre, et il partit dans l'autre sens.

- Pourquoi ne prend tu pas non plus cette direction ?!
- Pour attirer tout les soldats.
- Non, c'est à moi de te sauver maintenant !

Après ça il se mit à rire et partit en courant, faisant des traces avec son sabre dans la terre. Je me résolu à partir dans la direction opposé à la sienne, maudissant le sort.
J'arrivai dans une grande ville prés de scitopole je m'assis sur un banc dans un parc et je fouaillai mon sac pour prendre de quoi manger, mais à la place je trouvai un sac plein de pièce d'or, je pouvais m'acheter de la nourriture pour 1 mois au moins.

Merci grand frère !
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Regit
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MessageSujet: Re: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyMer 15 Nov - 12:08

Je pense que vous voulez un peu plus connaître mon frère qui me sauve tant et savoir ma relation avec lui, il est donc temps d’en parler.

(( musique de fond ))

Mon grand frère…
Oui c’est vrai que je l’aime bien ! Il m’a bien souvent sauvé la vie, c’est peut être pour ça mais il était de toute façon très sympa avec moi. Mais faut pas croire, on s’est beaucoup battu dans notre enfance pour des broutilles pour la plupart. La première fois qu’on s’est battu, je pense que je m’en souviendrait tout le temps, c’était même pas notre faute -c’est aussi vrai que j’ai le don de rejeter toujours la faute sur les autres-. C’était arrivé alors que l’on avait fini les cours, le dernier cours était d’ailleurs l’un des plus ennuyeux, cours de religion, je détestais ça ! -Pourtant je suis devenu prêtre, allez savoir pourquoi, enfin … je vous le dirais plus tard-
-Mais revenons au pourquoi du comment j’ai été à me battre contre mon frère-
Je n’étais pas dans une école spécialisée pour noble, mon frère et moi étions dans une école avec des enfants de parents riches j’avais quelque copains, je devais avoir 10 ans et donc mon frère 12 ans.
Donc après ce cours, je suis allé jouer avec mes copains, à la lisière de la forêt, nous avons pris des bâtons et nous nous sommes battu on aimait beaucoup les duels d’escrime, on faisait deux camps parfois et nous faisions des petites guerres, de temps en temps mon frère venait du haut de ses 1m 60, ses cheveux d’un brun brillant, ses chaussures noires, son chapeau de cow-boy blanc et son veston en cuir, il portait avec lui son bâton de bois favori et me demandait si il pouvait faire parti de mon équipe et j’acceptais toujours avec un peu d’hésitation – pour le style-
C’est pour cela qu’on était toujours dans le même camp, donc on ne se battait jamais et notre camp était toujours vainqueur. Nous bénéficions de cours d’escrime gratuit car mon père était le roi, nous étions donc d’un niveau supérieur. Mais un jours, l’un de mes copains a lancé un question toute bête, ce jour là je l’ai maudit mais a cause de la colère -c’était toujours mon copain-, cette question c’était :

- Qui de ton frère ou de toi est le meilleurs, Regit ?
- Eh bien, je n’en sais rien du tout, je dois sûrement lui être supérieur …
[Le reste des copains] – Battez vous, battez vous, battez vous …

C’est alors que j’ai été amené à me battre contre mon grand frère. Nous avons commencé en beauté en frimant à moitié, on s’amusait de se faire des passes et des passes mais il fallait un gagnant et le combat devint plus serré, plus tendu et à ce moment là je cru que je pouvait le toucher à la tête mais il para mon coup et enchaîna par une attaque sur mon mollet droit ce qui me fit à moitié perdre l’équilibre, il me désarma et me donna un coup énorme sur la tempe, je vacilla puis tomba. Je saignais, du mollet et de la tempe, je ne bougeais plus, je ne pouvais plus bouger, -et croyez le si vous voulez mais j'ai pleuré-, il me porta donc sur son épaule avec une brutalité inouï et m’emmena à l’hôpital, mon père lui a passé un savon et lui a ordonné de veiller sur moi à jamais…
Quand je pense à mon frère, c’est à ce magnifique combat auquel je repense et surtout au savon que lui à passer mon père.
Il y a eut d’autre moment aussi, on s’est battu pour celui qui aura le dernier bonbon, celui qui régnera après papa, celui que maman aime le plus et bien d’autres bricoles. Mais il évitait de me blesser parce que sinon il se faisait punir par mon père car il est sensé me protéger depuis que mon père le lui a ordonné.
J’ai souvent été kidnappé par des bandits -3 fois- pour une rançon, et mon père ne venait pas me sauvé, il envoyait mon frère, il venait seul avec ses deux serviteurs personnel et mon garde et me sauvait, à quatre -parce que je ne me battait pas- ils réussirent à me sauver et à se sauver, mon père le félicitait et tout le monde était content sauf moi. Mon frère avait toujours le beau rôle et j’étais le faible qu’on allait sauver lorsque l’on avait rien à faire, oui j’étais horriblement jaloux, je faisais tout et je ne le rattrapais même pas mais …
Les autres fois où l’on se voyait c’était à ses retours de missions – il a commencé les missions à 15 ans, j’en avais donc 13 -, donc à ses retour de missions, il me racontais tout en détail, je l’écouter, cela me permettais de m’évader, de ne plus penser aux leçons et aux autres problèmes après ça on allait dans le grand jardin du palais, on s’allongeait dans l’herbe et on parlait en regardant les nuages puis plus loin dans la soirée les étoiles, notre mère arrivait et nous disait de rentrer, on allait manger puis se coucher, chaque fois que je le voyait il me semblait plus fort et toujours aussi joyeux. Je faisais l’éloge de lui en cours et je parlais de ses périples à mes copains qui m’écoutaient sans m’interrompre.
J’aimais bien parler de lui, le voir et qu’il me sauve, et j’aimerais qu’il le fasse encore une fois -bien que ce sera impossible car maintenant je suis plus fort que lui !-

Je repense parfois à notre dernière… - que dis-je -… avant dernière rencontre qui s’est passé dans les bois ou je mes suis agressé par des bandits du seigneur Altaica Tigris … Je le connais trop bien pour penser que ce n’est pas lui qui les a engagé … C’est impossible …
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MessageSujet: Re: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyMer 10 Jan - 12:10

A quoi ressemblait ma ville natale ?
Ah ! Eh bien c’est maintenant la capitale de mon royaume et c’était la capitale du royaume de mon père avant moi. Elle n’a d’ailleurs pas beaucoup changée ce sera donc facile d’en parler…


(( Musique de fond ))

Il faut d’abord savoir qu’elle se situe en plein désert. Dans ce désert, ce trouve une grande colline dont le versant Est est une grande paroi abrupte. Le château se situe sur cette colline, la ville est séparée en deux, la ville haute ainsi que la ville basse. La ville haute se trouve en arc de cercle autour du château, sur le versant Ouest qui est donc au soleil. Elle est principalement composée de riches bâtisses, on y trouve les grands marchands et les aristocrates. Elle est bien décorée et propre. Au contraire la ville basse était un peu plus sale, et les plus pauvres y vivaient, Il y avait aussi les artisans et les mendiants, de ce temps, on y trouvait des trafiquants, des marchants d’esclaves et autres. Les habitants de la Haute était assez arrogants et mépriser ceux de la Basse, c’est pour cela que moi et mes amis qui avaient aussi des parents riches allions souvent nous promener dans les Bas-Quartiers qui sont pourtant peux recommandables. Comment vivre dans un désert pareil dans un monde aussi malsain que celui là, n’est-ce pas ? Le roi mettait beaucoup d’argent dans les gardes et les soldats, ce qui fait que cela maintenait les brigands à distance de la ville et les trafiquants durant la journée. L’aridité n’était pas un problème parce que la montagne qui allait bien plus haut que le château faisait de l’ombre derrière celle-ci, de plus il y avait une cascade descendant des neiges éternelles de la montagne ce qui faisait qu’une forêt avait poussé derrière le versant Est, l’eau coulait sur deux kilomètre mais la chaleur l’évaporait, de ce fait elle n’allait pas plus loin. A coté de cette forêt, on avait développé l’agriculture, toute cette nourriture était emmenée en ville à l’aide d’un tunnel traversant la montagne.
Il faisait très chaud 8 mois de l’année, et nous avions donc l’habitude de se baigner dans l’eau froide du fleuve situé derrière la montagne, formé par la neiges fondue de celle-ci. Les 4 autres mois de l’année formait la saison des pluies. La pluie était brûlante, il était déconseiller de sortir dehors en ce moment là. On allait donc jouer sous la montagne, le seul endroit protégé de la pluie à part les bâtiments. C’est une saison dangereuse et ennuyeuse pour la ville, car la pluie chaude faisait fondre la neige du sommet et inondait la forêt, les champs et la ville, mettant le château les pieds dans l’eau. Il ne pleuvait pas tout le temps mais une grande partie de la journée. Pendant qu’il ne pleuvait pas, nous remettions la ville en ordre bien qu’elle serait re-inondée et re-salie peut après. Cela permettait de s’entraîner et faire quelques mouvements au soleil et à l’air pur. La saison des pluies offrait un magnifique spectacle car la lumière du soleil se réfractant dans les gouttes de pluies et ce réfléchissant sur le glacier éternel du haut de la montagne formait un magnifique spectacle de couleur redevenant un arc-en-ciel normal au fur et à mesure que le glacier fondait … Les premiers jours de la saison des pluies était donc les plus beaux.
En temps normal, les animaux vivaient et peuplaient la forêt avec abondance, cela formait une source de nourriture inépuisable, pouvant donc nourrir toute la ville. Avec le temps, des animaux marins s’étaient développés dans le fleuve et les animaux du désert ne faisaient pas rare.


Malgré la chaleur, la saison des pluies, les brigands et les trafiquants nous menions une vie heureuse, mais à ce moment là nous étions loin de nous douter que le grand désastre allait se passer, m’obligeant à fuir jusqu’à Scitopole et mener mon voyage à travers des terres que je ne connaissait pas, des lieux dangereux et à la recherches de celui qui à détruit mon début de vie afin de me venger
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MessageSujet: Re: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyMar 16 Jan - 13:10

Eh ! Toi ! Réveille toi !
Regit ouvrit les yeux, il gémit, la lumière l’aveuglait, il fait jour. Il était allongé. Il tomba alors à la renverse et se fit mal sur le sol de terre. Il se trouvait juste à l’instant sur un banc en bois, autour de lui tout est calme, vert et illuminé par les rayons du soleil. Il fait chaud. Il enleva alors sa veste et regarda la personne qui l’avait réveillé. C’était un garde.
- heu … Bonjour mon seigneur, dit-il timidement
- Bonjour petit, sais-tu qu’il est interdit de dormir dans le parc ? Nous ne voulons pas d’ennuis avec les vagabonds. Tu es blessé, il y a un médecin pas loin, à gauche.

Sur ce, le garde partit laissant seul le petit célestial aux ailes couleur boue. Sa blessure recommença à saigner, sûrement dû au contact du sol lorsqu’il est tombé. Il alla donc chez le médecin en se tenant l’épaule de la main gauche, une grimace défigurait son visage.
Le médecin le mit torse nu et l’assit sur une table basse. Il commença par lui faire prendre tout un tas de saloperie et lui fit une saignée sous les yeux de sa fille qui apprenait le métier, cela servait à enlever le mal enfoui dans la blessure. Il fourra ensuite dans la blessure grande ouverte un objet qui est sensé purifier le corps après que le mal soi sortit. Regit qui n’est encore qu’un enfant de 14 ans avait les larmes aux yeux et son corps tremblait à cause de la douleur qui le ravageait de l’intérieur mais ne criait qu’à peine
– à ce moment là, je m’étais promis d’être aussi fort que mon frère –. Après avoir enlevé l’objet de ma plaie, le médecin me fit manger de la viande pour que je reprenne des forces et des herbes qui d’après lui sont médicinales. Après cela, il sortit de la pièce et sa fille banda soigneusement la blessure du petit célestial aux ailes foncées.
- Tu as de la chance, lui dit-elle en souriant, la médecine de mon père est très efficace mais elle n’a que 32% de réussites…
Regit s’évanoui alors après qu’elle ai finie sa phrase.


Dong Dong Dong …
Regit se réveilla, il se trouvait dans un lit. Il se leva. Il ouvrit la porte la porte et sortit dans le couloir qui était décoré de nombreux tableaux. Il descendit l’escalier qui se trouvait face à lui. Il entendit du bruit en bas, il suivit ce son de casserole et entra dans une pièce qui semblait être la cuisine.

- Ah ! Te voilà, nous avons eu très peur après que tu te sois évanoui, cela fait plus de 2 jours que tu dormais.
- Comment ?! Tant que cela !!
- Oui, petit, répondit le médecin, viens manger !

Le repas fut somptueux, c’est comme si on mangeait pour la première fois.
- Voilà, maintenant que tu as mangé, parlons affaire. Dit le médecin. Pour t’avoir sauvé la vie, tu me devras un an de service. Tu travailleras avec moi tout ce temps et si je suis content de toi, je te payerais peut être…
Regit accepta, il n’en avait pas le choix, il ne pouvait rien faire d’autre.

Voilà ce qui fut ma brillante entrée dans la société ...
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MessageSujet: Re: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyLun 11 Juin - 2:34

Il arrive parfois que l'on soit pris de délires fous, et j'esére que personne n'en sera jamais prit d'un comme celui là, ou d'un pire...

Regit avait traversé la ville, après être sorti de la guilde. Il n'y avait pas âme qui vive... En continuant de marcher il vit un petit attroupement près du grand jardin, il s'y rendit pour voir ce qui se passait. Il se fraya un chemin, Zeldrée partait en courant, il se demandait pourquoi. Il avança un peu et vit deux gardes.

- Vous ne pouvez passer par ici, je vous conseil de ...
- Taisez-vous ! D'une, appelez moi "Mon seigneur" ! Comme vous le voyez par mes habits, je suis quelqu'un de riches mais aussi influent, et de deux vous me laissez passer !! J'aimerais bien savoir pourquoi il y a un attroupement et ce n'est pas vous qui m'en empêcherez !

Regit passa de force en poussant les gardes, qui pris par surprise sont destabilisé. Il s'avança et vit Manek éparpillé un peu partout. Il s'approcha de la tête et y donna un bon coup de pied, répandant du sang sur sa chaussure ainsi qu'un peu partout par terre.


- Alors c'est ça le magnifique combat que l'on s'était promis ? Tu es pitoyable... en arriver à te suiscider pour fuir un combat que tu te disais capable de remporter...
Il n'y a pas de raison que je perde tout mon mérite ...


Regit prit l'un de ses couteau à sa ceinture et transperça le coeur éclaté de Manek. Il rangea son couteau et commença a incanter. Il s'arrêta ...
Dans une petite explosion de glace, tout le sang de Manek répandu par terre se gela, formant des piques dans tout les sens. Il murmura.


- Petite signature... C'est la beauté du geste qui compte...

Il repartit dans la direction opposé, laissant derriére lui le glaçon hérisson. Il baissa son chapeau sur ses yeux et effaça tout signe d'émotion sur son visage.

Regit était sortit du jardin. Quelque chose n'allait pas... Il réfléchissait... pensait... doutait...
En cinq ans était-il devenu maléfique ? Non plutôt mourir que suivre le même chemin que son père !! Il s'arrêta... Il voulait s'envoler pour rejoindre son pays... Il n'y arrivait pas ... Il réesseya ... Il n'avait plus d'ailes, c'est tout à fait logique qu'il ne puisse plus voler. Comment les avait-il perdu déjà ?... Il ne s'en souvenait plus ... Si !! Lors de la bataille qui l'a opposé à son père, qui avait rejoint les rebelles noirs. Il avait attaqué le royaume de son père pour récuperer sa ville natale. C'est son père qui lui avait enlevé !


- Mais ...


Aussi loin qu'il s'en souvienne les ailes d'un célestial ont toujours été éternelles... Que cela voulait-il dire... Son père ...
La haine qu'il avait éprouvé, lorsque son père avait détruit sa propre capitale pour tuer ses héritiers, était encore présente. Une forte haine, de la souffrance, un véritable trouble psychologique ...
Non !! Il ne perdrai pas contre son père et n'ira jamais dans la même voie que lui !!
Il partit de la ville, un jour il reviendrait ...
Devenir plus fort ... Tuer son père ... Exterminer les drows qui s'était rallier à lui ...
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Regit
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MessageSujet: Re: Chronique du Tigre   Chronique du Tigre EmptyLun 11 Juin - 2:54

Heureusement, il existe de meilleurs souvenirs, voici un de ceux que l'on oublie pas car il m'a fait découvrir la vraie souffrance, la seule que l'on est d'accord d'accepter ...

Des bruissements d'ailes retentirent dehors et des cris de buveurs de sang se firent entendre. Je sortis du bâtiment en toute hâte et regardai en l'air, je voyais une centaine de chauve-souris qui tournoyaient dans le ciel légérement obscurcit par la soirée. De tout les côtés plusieurs chauve-souris arrivérent dans une sortes de dance macabres pour en réunir environ 9 000, les 9 000 messagers de mon pays. Ma cible est donc repérée...
Le regard aggressif, la chair, se rapprochant de la température du zéro absolu, caractérisée par mon tempéramment de feu, je dis tout simplement en murmurant.

- Ce qui compte c'est ce qui est à l'intérieur, pourvu que ce soit fort. Avec une telle citation, j'en détronnerai Nimburr...

Nucter m'avait dit que la haine et la vengeance était forte. Je me tournai vers les autres.

- Ne venez pas me chercher, je dois partir me venger, des escargots me gêneraient. Ne m'attendez pas pour le repas. Je vais tout de même vous aider une derniére fois.

Et je dis en langue infernale.

- Vous autre, à part, celui qui a repéré la cible ...
Allez attaquer les veilleurs les plus proches avec les autres, je ne veux aucune retraite. C'est quitte ou double !


Je parti ensuite en volant, précédé du buveur de sang, en direction de ma cible.

J’arrivai dans un désert, je parcourais encore un kilomètre ou deux avant de voir un homme, un infernal accompagné de quelque drows. J’invoquai grâce à Nucter quelques démons qui me permirent de mettre hors d’Etat de nuire ces drows, mon père, ce traître, les détruisit en un seul sort.
Cela serait inutile de se battre en utilisant nos sorts, on se les contrerait à chaque fois… Je ressortis la masse ancestrale dont je me servais lorsque j’étais un célestial prêtre. Mon père m’envoya alors une dague en pleine face, que je parai de justesse à l’aide de ma masse, je la vis atterrir à deux mètres de mes pieds, et pendant ce temps, mon adversaire s’était lancé sur moi à une vitesse affolante une autre dague à la main, ses attaques rapides me causaient du souci, toutes les parer et les éviter avec un tel poids dans les mains fut plutôt difficile, ma chair se déchira à plusieurs endroit de mon corps rouge sous sa lame, ainsi que quelques plaies firent leur apparition sur mon visage, n’ayant rien a perdre, j’ élançai ma masse, faisant des moulinets ce qui eu pour effet de gêner mon adversaire, qui recula un peu.
Affaibli, je lançais une dernière attaque, de haut en bas, pour lui écraser la tête, il esquiva facilement, et me lança une boule de feu sur le côté. Dans ma position, je ne pu l’arrêter et je ramenai rapidement ma masse qui se détruisit au contact du feu du traître. Il voulait que je ramasse la dague qu’il avait lancée, je ne fis pas l’erreur de la prendre, mais je me dirigeais vers elle en courant pour faire semblant de la prendre et lui en lança deux que j’avais caché dans ma ceinture, dans mon dos, il esquiva la première et pendant ce temps, j’en lançai une autre, une lame courbée très légère et très perçante que j’envoyai beaucoup plus à droite. Il fut très intrigué et ne para que de justesse la seconde cachée dans l’ombre de la première. Une perle de sueur en tomba de son front pendant que la dernière lame, la plus meurtrière, emportée par le vent et l’effet boomerang, lui arriva au niveau des côtes, il ne pu l’esquiver à temps et hurla de douleur.

- Tu t’es vraiment amélioré, gamin, on voit que tu as eu un bon maître durant ton enfance.

Mon père est un maître dans l’art de maîtriser la dague, mais il était célestial Paladin avant de devenir un infernal et de mettre à feu et à sang son propre royaume … je ne l’avais jamais compris, mais mon père était un célestial qui fondait sur ses ennemis à la dague, et esquivant les ennemis en s’envolant, ses fameuses attaques piquées …

- Ce n’est pas grâce à toi, si je suis bon à la dague !
- Tu n’es même pas crédible.


Je me jetai sur lui à mains nues et lui me porta un coup piqué avec sa dague. C’est ce que j’attendais, sous le coup de la précipitation, il venait de commettre l’erreur qu’il voulait que je commette. Gloire à Nucter qui m’a donné la force de tenir jusqu’ici et qui a embrouillé l’esprit de ce traître. Je mit mon avant bras, la dague transperça mon avant bras gauche et je fit une grimace de douleur, je tapai dans la foulée, le bras de mon père, celui qui tenait la dague, il la lâcha et je tournai mon avant bras pour enlevé la dague de la main droite, il la lui planta près du cœur. Il étouffa un petit cri et cracha du sang, il tomba ensuite à genoux devant moi, je lui montrai mon avant bras gauche, on pouvait voir deux autres cicatrices similaire à la plaie qu’il venait de me faire.

- Alors … Qui t’as appris tout ça ? Morveux… me dit-il un léger sourire aux lèvres.
- Tu m’avais dit que tu étais imbattable si ton adversaire avait une dague ? J’avais été idiot la dernière fois de reproduire tes attaques piquées sur toi-même mais je voulais t’avoir avec une de tes techniques. Tu utilises toujours la dague ? ça t’aura perdu !

- Idiot … Si j’utilise la dague c’est pour que l’adversaire la ramasse quand je lui lance, lui montrer qu'il aura une chance de me tuer avec mes propres armes, bien aiguisées !Il toussa et cracha du sang. Tu aura toujours été un copieur …Il toussa de nouveau.

J’allais l’achever quand une voix me dit d’arrêter. J’eu un sursaut.

- Tu ne feras rien, si tu le tus alors, Nucter aura ton âme.
- C’était le deal, j’étais au courant Releshdar ! Je voulais le tuer mais … Que fais tu là ? …

Il était là à côté, éclairé par le soleil qui m’ébloui … Non, ce n’étais pas le soleil mais Angelion qui était avec lui … je n’avais pas su tromper l’intelligence de Releshdar qui m’avait trouvé tout de suite, le fidèle bras droit du maître Angelion…
- Que faites vous là ?! Je vous avais dit de ne pas venir !
- Tu ne le tueras pas, la vengeance t’est inutile, nous combattons uniquement pour la défense de notre Brasamical.
- Finalement tu es assez ridicule Releshdar …

Mon père qui avait un peu récupéré se jeta sur moi pour me tuer le premier, j’étais distrait et je ne fus pas assez rapide, je n’ai eu pour réflexes que de replier mes bras pour me protéger le visage. Je sentis une vague de chaleur dû à un sort de Angelion, qui brûla vif, mon père très affaibli tout de même par notre combat.

Peu de temps après Angelion se recula, Releshdar en fit de même.


- Je suis désolé Regit, mais nous n’allons pas avoir le choix, puisse la lumière avoir raison de toi mon ami.

Le Célestial intenta un léger sort d’immobilisation par la terre, une implosion mineure.

Les deux mages se concentrèrent, un vent puissant fit son apparition, Angelion haussa la voix, par la douce réalité du céleste, je t’invoque Kereb, puissant dieu de la magie, c’est alors qu’une énorme masse de lumière s’extirpa du ciel et forma la silhouette de l’ultime magicien…

Comme si la manœuvre ne suffisait pas, ce n’était pas encore assez, Releshdar concentra à son tour un énorme flot de mana qu’il joignit à la lumière protectrice d’Angelion, ainsi le chef de Brasamical en appela aux légendaires Dragons Célestes de Brasamical, Eonia et Bradar sortirent du néant peu après l’incantation fusionnée des deux mages.

Regit était sur le sol légèrement affaibli par son combat et incapable de bouger bien qu’inquiété. L’Infernal cherchait à bouger et à se sortir de cette situation.
Angelion reprit…

- Il est temps pour toi de nous faire honneur et de nous promettre de survivre à cette épreuve mon ami, le processus de ne sera pas facile mais nous n’avons plus le choix et plus le temps d’attendre.

Releshdar confirma l’idée d’Angelion d’un signe de la tête.

Releshdar et Angelion ordonnèrent aux deux puissant dragons d’entamer le souffle de la lumière qui pourra commencer à faire une brèche dans l’épaisse peau de l’Infernal.
La lumière purificatrice commençait à s’étendre que l’on y voyait plus que bien être pour les deux mages, cependant l’infernal criait à la mort et c’est dans ce cri qu’une image de Nucter, le puissant dieu de la mort se manifesta.

Angelion très concentré pendant le processus, reçu un léger signe de la main de Releshdar, le magicien le vit et s’exprima d’une voix haute et forte.


- Kereb, puisse votre magie nous protéger, je vous implore de nous venir en aide.

C’est ainsi que l’imposant Dieu lança une puissante déferlante sur l’infernal et ce qui l’entourait, un subtil mélange d’éléments naturels enrobé d’une puissante lumière céleste eurent raison de l’avatar du Dieu de la mort et transforma l’infernal…

Peu de temps après le Dieu de la Magie et les Dragons n’étaient plus, l’explosion avait annihilé toute substance magique présente, et Kereb accomplissant notre volonté s’en était reparti dans le monde du Divin.

Le choc avait été tellement violent que les deux mage étaient à terre éblouie par la divine lumière et épuiser par ce qui venait de se passer.

Regit n’était plus souillé par le mal, un noble célestial faisait désormais son réveil…

Angelion et Releshdar n’en revenaient pas mais cela paraissait bien réel…Le chef des Gardes Céleste de Brasamical s’approcha du célestial et s’exprima…


- Nous te ramenons à Brasamical mon ami, tout est encore un peu flou pour toi mais une fois que tu auras repris tes esprits tu nous remercieras.

Pour la lumière et pour Scitopole, cela était nécessaire.


- Laissez moi là, je dois ... réfléchir, je vous rejoint tout de suite ...
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